Dans un Orient machiste et patriarcal… est il permis d’avoir une âme.
Habitué aux figures d’hommes qui crient… s’emportent et nous mènent à la mort… comment accepter un premier ministre qui a du cœur.
Un homme au pouvoir qui à trois reprises verse trois larmes.
Ce technocrate vient d’un temps de paix où l’économie et la démocratie avaient encore de la valeur.
En l’espace d’un an… il fit face à la mort d’un mentor et ami… l’indépendance d’un pays et l’attaque israélienne sur le liban.
Rôdé aux jeux de la raison… mal préparé aux horreurs d’une guerre de force inégale... il regarde ces cadavres d’enfants et s’étrangle dans une boule d’émotion.
Cette sensibilité nous mènera-t-elle quelque part… où sommes nous perdus d’avance face à l’effondrement émotif d’un gouvernement de la dernière chance.
Les hommes de cœur seront la face nouvelle d’un Orient en voie de reconstitution.
Ils précèdent peut-être l’ère des femmes… et la paix dans le monde.
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